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🔄 Le cercle infernal du doute pro Ça commence 🔄 Le cercle infernal du doute pro Ça commence souvent ainsi : “Je ne sais pas exactement ce qui cloche.” Est-ce mon poste ? Mon secteur ? Mon manager ? Ou… moi ? Alors on cherche. On teste des choses. On lit des livres, on fait des tests, on écoute des podcasts. On espère tomber sur LA réponse… mais rien ne tient vraiment. Et plus on essaie, plus la peur grandit : 👉 “Et si je me trompais encore ?” 👉 “Et si je n’étais pas fait(e) pour autre chose ?” 👉 “Et si je me lançais pour rien ?” Résultat : on tourne en rond. On patine. On ne comprend pas ce qui bloque… et ce doute finit par nous épuiser. La rentrée n’arrange rien. On se dit : “ça ira mieux après les vacances”… mais à peine revenu(e), tout remonte. La fatigue, les réunions sans sens, le sentiment de ne pas être à sa place. Et comme on n’a “pas le temps” de s’y pencher, ça continue de tourner, comme dans des sables mouvants. Un nouveau ministre, un climat politique (et un climat tout court) qui ne donne pas envie de tout tenter, et franchement c'est compliqué. 👉 Si vous vous reconnaissez dans ce cercle, c’est précisément pour ça que j’organise ma masterclass offerte : “Pourquoi vous vous sentez autant perdu(e) devant votre avenir pro ?” On y parlera : - Des vraies raisons derrière ce blocage, - De ce qui vous empêche d’avancer (même quand vous essayez), - Et des clés concrètes pour enfin sortir de ce cercle infernal. 📅 26 septembre, pour ne pas se mettre de pression à la pression 12h15 Ca va aller, en douceur
On entend souvent : « Il ne faut pas tout attendr On entend souvent : « Il ne faut pas tout attendre de son travail. » Et c’est vrai. Comme on ne peut pas attendre 11 mois en apnée pour enfin respirer 3 semaines l’été, on ne peut pas non plus attendre que le boulot nous comble à 100 %. Mais… ça ne veut pas dire que la vie pro doive être terne. Ça ne veut pas dire que c’est “normal” de subir 8, 9 ou 10 heures par jour en serrant les dents, en attendant le soir, le week-end ou les vacances pour enfin souffler. Vous avez le droit à mieux. Un projet professionnel qui vous correspond, même s’il ne contient pas toutes vos passions. Un travail qui a du sens, où vous sentez que vous apportez quelque chose. Un quotidien où il n’est pas “normal” d’attendre la prochaine échappée pour vous sentir vivant. Et la rentrée est souvent ce moment où ça se voit plus clairement : le contraste entre ces semaines d’été où vous aviez retrouvé énergie et envie… et ce quotidien où, dès septembre, tout retombe. Vous n’êtes pas obligé·e de passer votre année à subir en attendant la prochaine parenthèse. Votre vie pro peut être autre chose qu’un “entre-deux vacances”. Vos "passions" de vacances ne vont pas toutes devenir votre future vie pro,  tout le monde ne va pas finir trailer pro, prof de surf, etc.  Il est effectivement bien d'avoir du perso qui équilibre le pro ET de trier ce que vous aimez dans le loisir, ce qui vous ressource et ce qui peut devenir un projet pro justement (attention à la recherche d'un projet passion "mission de vie" à tout prix !) Mais cela ne veut pas dire se contenter d'une vie pro tiédasse en attendant l'heure sympa du week-end.  Si vous vous sentez perdu dans toutes vos envies, dans les méthodes pour trouver ce projet (écoute ton coeur ou pas du coup ?), on se retrouve après le rush de la rentrée pour faire le tri ! Lien en bio
Pourquoi on fait ça . On part en vacances épuis Pourquoi on fait ça . On part en vacances épuisé·e. On se dit que ça ira mieux après, qu’un peu de repos suffira. Et c’est vrai… l’espace d’un instant. L'esprit se détend, on rêve d’une autre vie. Et on rentre, plein(e) d'espoir, en se disant que ca va aller. Et pas toujours 👉 La suite est dans le carrousel 😉 Info sur la masterclass en bio ou story !
J'ai toujours aimé la rentrée (même si je voudr J'ai toujours aimé la rentrée (même si je voudrais une météo qui reste toujours en été, mais c'est un autre sujet !) : - acheter des cahiers et des stylos (ca reste une petite passion !) - le sentiment de nouveau départ à chaque fois, j'aime le changement et la rentrée de septembre me donne un second souffle à chaque fois qui me plait mais je sais que c'est aussi une période qui peut vite vriller : - les "résolutions" se transforment en injonctions complètement épuisantes quand après un été à cuisiner avec les légumes frais du marché, on se dit qu'on va continuer comme ça parce que c'est telllllement bon et mieux, sauf qu'on n'est pas en Provence, pas en vacances et que le batch cooking personnellement me met d'une humeur de bull dog - l'idée de ralentir qui s'applique vraiment excessivement bien à la rentrée scolaire 😉😅quand on est parent particulièrement. On se dit aussi en vacances que c'est quand même mieux quand on est détendu (oui on est vraiment philosophe et intelligent l'été à l'apéro), on se décide à prendre les choses avec du recul, de prendre des pauses, du temps pour nous ... et puis là, ba c'est comme les autres années hein on a des réunions de rentrée, des fournitures, des inscriptions, des certificats... des collègues relous (et d'autres chouchous...) Cette rentrée peut donc être le sentiment d'un nouvel élan, mais aussi nous rouler dessus avec en plus la culpabilité de ne pas tenir 15 jours nos bonnes résolutions. Alors, au final c’est normal que septembre secoue un peu… et c'est bien d'y aller un peu mollo sur les injonctions. Mais parfois, ce n’est pas juste le blues de rentrée : c’est un vrai signal que quelque chose coince. C’est exactement ce qu’on va décortiquer ensemble fin septembre dans ma masterclass : faire le tri entre ce qui est normal (et passager) et ce qui ne passera pas si on l’enfouit, quand on sent que ça fait un moment que le sujet nous travaille vraiment. Je partage le lien en commentaire ou dans mon profil et on se retrouve après le ras de marée de la rentrée si ca vous parle. En attendant 💓à tous
“Mais détends-toi, prends du recul, ce n’est “Mais détends-toi, prends du recul, ce n’est pas si grave…” Si on vous a déjà dit ça (au boulot ou ailleurs)… et que ça vous a autant culpabilisé que donné envie d’étrangler la personne 😅 cette vidéo est pour vous. J’y partage une clé qui m’a vraiment fait regarder les choses autrement. À la question : “Mais comment ils font, eux, pour y arriver ?” La réponse est simple : ils ne ressentent pas comme vous. C’est comme le pollen. Si vous êtes allergique, vous éternuez. Votre voisin non, parce qu’il n’est pas allergique. Alors forcément, quand il vous dit : “Arrête d’éternuer, prends du recul !”… ça sonne un peu absurde. Au travail, c’est pareil : il y a des irritants qui vous touchent beaucoup plus fort. Ça ne veut pas dire qu’il n’y a rien à faire (il existe des “anti-allergiques”), mais vous pouvez déjà arrêter de vous comparer à ceux que ça n’affecte pas. 🎥 👉 J'espère que cette clé vous aide, moi elle m'a pas mal apaisée.
Commencer un coaching, ce n’est pas si simple. O Commencer un coaching, ce n’est pas si simple. On a envie d’avancer… mais il y a toutes ces pensées qui bloquent. 👉 “Et si on m’imposait une méthode toute faite qui ne me correspond pas ?” 👉 “Et si je me retrouvais à devoir justifier chaque choix, comme au travail ?” 👉 “Et si je n’étais pas compris(e), pas écouté(e), catalogué(e) ?” 👉 “Et si je perdais du temps, ou pire, de l’argent, pour rien ?” Ces doutes, je les entends tout le temps. Et je les comprends : quand on a déjà l’impression de ne pas être à sa place, la dernière chose qu’on veut, c’est de se sentir encore plus jugé·e ou incompris·e. C’est exactement ce qu’A. ressentait avant de démarrer. Et pourtant, à la fin de la première séance, voici ce qu’elle m’a écrit : “Je me suis sentie écoutée et comprise, en confiance et impatiente de poursuivre le parcours. En un mot : Sérénité. Ou en deux : Gratitude.” La vérité, c’est que le coaching ne commence pas par un plan d’action. Il commence par un espace. Un endroit où l’on peut déposer ses doutes, retrouver confiance, respirer un peu. Ensuite seulement, on construit des étapes concrètes. Alors si vous hésitez parce que vous avez peur qu’on vous impose, qu’on ne vous comprenne pas, ou que vous ne soyez “pas fait·e pour ça”, j'espère que ce petit mot vous aidera.
Il y a ce décalage qu’on ressent parfois dans s Il y a ce décalage qu’on ressent parfois dans sa vie pro. On fait bien son travail, on a même de bons résultats… mais on se dit quand même : “Je ne suis pas à ma place.” Ça se traduit comment ? 👉 Le masque qu’on porte en permanence commence à peser. 👉 Les petits jeux politiques, les incohérences, les injustices nous usent. 👉 On doute : “Si ce n’est pas ça… alors quoi ?” Ce sentiment est plus fréquent qu’on ne le croit. Et non, ça ne veut pas dire que vous êtes instable ou trop exigeant·e. Ça veut juste dire qu’il y a un ajustement à faire. Et bonne nouvelle : c’est possible. Dans ce carrousel, je partage 3 clés concrètes pour commencer à retrouver sa juste place : - Se connaître (vraiment) - Chercher le bon terrain de jeu - Ne plus masquer l’essentiel Et retrouvez l'article sur le site pour plus de détail ou en commentant PLACE.
Je suis trop compliqué pour trouver ma place dans Je suis trop compliqué pour trouver ma place dans la vie pro parce que : 👉 “Je vais vite, je demande de la qualité : au début ça plaît, puis je m’ennuie… ou j’agace.” 👉 “Je ne supporte pas les jeux politiques, j’ai du mal à ‘jouer le jeu’.” 👉 “Le personal branding m’épuise.” 👉 “Je masque mal ce que je ressens ; quand je ne suis pas d’accord, ça se voit.” Ce sont les phrases que j'entends souvent dans les accompagnements. Au début, on pense qu’il suffit de refaire son CV. Mais très vite, on sent que le problème est ailleurs. Parce qu’à chaque étape, il y a ce petit caillou dans la chaussure : - l’ennui qui revient, - la perte de sens, - la lassitude des petits jeux de pouvoir, - ou ce sentiment diffus de ne jamais être “dans le bon rôle”. Alors on finit par se demander si ce n’est pas nous le problème. Si on n’est pas “trop exigeant·e”, “instable”, ou “pas fait·e pour le monde du travail”. Je sais ce que ça fait. Je l’ai traversé moi aussi. Et je peux témoigner, pour moi comme pour beaucoup de mes clients : ce n’est pas un cas désespéré. Ce sentiment de décalage peut cacher mille réalités différentes. Et donc, autant de pistes de solutions. C’est ce que je détaille dans mon article “Se sentir à sa place” : pourquoi on vit ce décalage, et comment commencer à retrouver enfin un espace professionnel où l’on respire. Lien de l'article en bio ou story
C’est la rentrée (si jamais vous aviez raté l' C’est la rentrée (si jamais vous aviez raté l'info !), ca m'a donné envie d'une photo avec le joli fond nuage comme à l'école 😉, et de vous faire un “Présentez-vous pour les nouveaux ?”. Depuis 2018, j’accompagne celles et ceux pour qui le boulot, ce n'est pas "juste le boulot" mais qui veulent : un lieu où ils apprennent, progressent, se sentent utiles, se réalisent même et qui ont du mal à trouver la solution de l'équation pour le trouver. Ils me disent souvent : – “Je ne sais plus ce que je veux, j’ai l’impression que c’est moi le problème.” – “J’ai peur de me tromper, de tout perdre, ou de regretter.” – “J’aimerais juste être à ma place, mais je ne sais même plus ce que ça veut dire.” Et c’est exactement là que j’interviens. Avec ma Méthode des 3 Curseurs ©, on remet de l’ordre dans le chaos : qu'est ce qui est essentiel pour vous entre sens, plaisir, argent/temps ? On fait le tri, on teste, on ajuste. Pas de recette magique, mais des pistes concrètes pour retrouver sa place : évolution interne, changement d’entreprise, reconversion, entrepreneuriat… Demain, je publierai un article qui s’appelle justement “À sa place”. Parce que c’est bien ça le sujet au fond : trouver le bon endroit pour soi. Après 15 ans en marketing & business developpement et 9 ans d’expatriation et plusieurs bifurcations, je sais ce que c’est que de chercher. Aujourd’hui, j’aide mes clients à oser avancer malgré leurs doutes, et à bâtir un projet qui tienne vraiment en les accompagnant de l'idée à la concrétisation. Je mélange introspection et passage à l'action, avec bienveillance (la vraie !), coup de boost et humour. Ecrire ce type de présentation est toujours compliqué pour moi parce que je ne sais pas faire court (ni ici ni dans la vie !) alors j'aurais aussi envie de vous dire pourquoi j'ai créé AH Accompagnement, les étapes pro traversées, .... Et vous, vous arrivez à vous présenter facilement à vos copains de rentrée ? à vous "pitcher" en sachant avec qui vous aimez travailler, comment ? vous arrivez à la raconter de manière synthétique ? (la question vaut aussi pour les salariés !)
August dump C'était les vacances quoi ... Et un p August dump C'était les vacances quoi ... Et un peu de boulot et de nid vide sur la fin Bonne rentrée 😘 J'aime la rentrée mais aussi tellement l'été que je veux qu'il dure encore un peu pas vous ?
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