ARTICLE QUITTER SON JOB

30 signes qu’il est temps de changer de travail !

Vous repoussez votre réveil de plus en plus souvent ?
Vous vous dites “ce n’est qu’une mauvaise passe”, mais cette “passe” dure depuis des mois ?
Ce n’est pas qu’un coup de mou.

Depuis 2018, j’accompagne des personnes qui ressentent exactement cela : un tiraillement entre la sécurité et l’envie d’autre chose. Beaucoup me disent :

“Je ne suis pas malheureux/se, mais je ne me reconnais plus dans mon job.”

Si vous vous posez la question, c’est probablement qu’un signe est déjà là.
Mais pour y voir clair, voici 30 signaux concrets qui montrent qu’il est peut-être temps de changer de travail — ou, au minimum, de vous poser les bonnes questions.

 

PS : Ce test est aussi placé sous le signe de l’humour pour rendre le sujet un peu plus léger qu’il n’est parfois

Vous pouvez le passer en ligne via le formulaire accessible en fin d’article pour recevoir un guide personnalisé selon vos résultats. 

30 signes qu'il est temps de changer de job article et test


30 signes qu’il est temps de changer de job : le test !

Votre corps et votre énergie vous envoient des signaux

Le corps ment mal. Il parle souvent avant la tête. Et il vous dit parfois qu’il est temps de ralentir, voire de changer de direction.

Numéro 1 : l’angoisse du dimanche soir et tellement forte qu’elle commence le jeudi

Numéro 2 : je me réveille à 3h du matin toutes les nuits

Numéro 3 : j’ai un stick antistress un spray anti stress une boule antistress une appli anti stress il semblerait que je sois stressé(e) !

Numéro 4 : mes entretiens de fin d’année me stressent tellement que je fais des crises d’urticaire

Numéro 5 : j’ai tout un tas de petites maladies de petits bobos de petits trucs qui vont pas mal au dos mal au ventre mal à la tête et bizarrement pendant les vacances j’ai rien

changer de job je ne me reconnais plus

Vous ne vous reconnaissez plus dans ce que vous faites

Vous sentez que quelque chose a changé. Ce que vous faisiez avec envie vous semble désormais mécanique, voire absurde.

Numéro 6 : j’ai un peu honte de dire pour qui je bosse

Numéro 7 : à chaque fois que je fais un truc je me demande à quoi ça sert

Numéro 8 : je ne sais pas pourquoi je travaille, à quoi ça sert, pourquoi tant de haine (ou de tableau excel!)

Numéro 9 : je prends 30 pause café par jour

Numéro 10 : je ne crois pas vraiment à ce que je dis à mon client, mes arguments de vente me font rire moi-même, c’est moche

Numéro 11 : mon boss est un con bon ok on essaie de le tourner politiquement correct je ressens personnellement un désaccord avec mon boss

Numéro 12 : je veux me sentir utile pour la planète, pour les autres… et je travaille pour des armes, une pâte à tartiner à base d’huile de palme, …

Numéro 13 : quand je fais passer un entretien d’embauche pour recruter quelqu’un dans mon équipe, j’ai envie de dire non mais partez partez en courant ! Avoir pitié pour les futures recrues est un indicateur “plus plus plus”

Vous n’éprouvez plus de plaisir à travailler

Même quand tout se passe bien, vous ne ressentez plus rien.
Vous faites ce qu’il faut, mais sans joie.

Numéro 14 : je n’aime pas ce que je fais dans la journée

Numéro 15 : j’attends le weekend à partir du lundi, les vacances de Noël dès le 1er septembre, la retraite alors que j’ai 34 ans

Numéro 16 : je ne me rappelle même plus la dernière fois que j’ai fait quelque chose qui me plaisait

Numéro 17 : je regarde l’heure toutes les 3 mn. Minutes réelles écoulées 3, minutes ressenties : putain ça va jamais s’arrêter ! C’est le bore out !

Numéro 18 : ça fait tellement longtemps que je fais la même chose que je pourrais presque le faire les yeux fermés

Vous êtes simplement au bout et en questionnement

Ce n’est pas toujours le métier, parfois c’est juste le contexte.

Les envies floues sont souvent les plus sincères. Elles indiquent que vous êtes prêt·e à évoluer, même si la direction n’est pas encore claire.

Numéro 19 : je sais que de toute façon je ne pourrais jamais avoir un poste qui me plaît dans cette boîte

Numéro 20 : je pleure au boulot ou en rentrant du boulot

Numéro 21 : je ne supporte plus la pression et il n’est pas possible de travailler moins dans ce type de poste

Numéro 22 : mes priorités ont changé, j’ai changé je ne veux plus la même chose qu’avant. Je ne suis plus en phase avec ce type de métier, poste.

Numéro 23 : je veux travailler moins

Numéro 24 : je vais frapper mes collègues

Numéro 25 : je veux apporter quelque chose aux gens

Numéro 26 : je n’ai aucune confiance dans ma hiérarchie et dans personne d’ailleurs

Numéro 27 : je ne me sens pas à ma place dans cette entreprise

Numéro 28 : je ne me sens pas reconnu(e) à ma juste valeur (financière, humaine, de compétences)

Numéro 29 : j’ai perdu confiance en moi avec trop de micro management ou de remarques sur mon job

Numéro 30 : il y a tellement de changements de direction que je perds la direction

Le cycle de décision : les 5 étapes pour savoir s’il est temps de partir

infographie cycle de décision changer de job ou pas

1️⃣ Identifier les signaux d’alerte

C’est souvent le corps ou le moral qui parlent en premier : fatigue, stress, insomnies, perte d’envie, désaccords profonds avec les valeurs de l’entreprise…
Ces signaux ne sont pas là pour vous punir : ils vous invitent à regarder ce qui, dans votre quotidien professionnel, ne vous correspond plus.

C’est ce que vous avez initié avec ce test, pour affiner vos réponses et identifier vos leviers d’action, je vous propose de faire le test en ligne “Faut-il changer de travail ?”.

En le remplissant, vous recevrez :
Votre profil personnalisé selon vos réponses
✅ Un guide d’analyse basé sur la méthode des 3 curseurs® pour mieux comprendre :

  • ce dont vous avez vraiment besoin aujourd’hui,

  • ce qui a besoin de changer (et ce qui ne dépend pas de vous),

  • et comment avancer à votre rythme, sans pression ni culpabilité.

Parce que c’est toujours le point de départ :
partir de soi, de ses besoins, de ses envies
pas uniquement de ce qu’on ne veut plus.

2️⃣ Prendre du recul sur votre ressenti

Une fois les signaux identifiés, vient l’étape du recul.
Elle est souvent inconfortable, car elle oblige à ralentir et à se confronter à ses émotions sans chercher immédiatement une solution.

Cette phase consiste à écouter ce que vous ressentez, sans juger, et à faire le tri entre ce qui vient de vous et ce qui vient du regard des autres.
C’est aussi le moment de se libérer des injonctions extérieures :

“Tu as un bon poste, pourquoi partir ?”
“Avec ton salaire, tu ne devrais pas te plaindre.”

Prendre du recul, c’est accepter d’explorer votre situation en arrêtant de mettre tout ça sous le tapis et en comprenant aussi qu’aller explorer ces questions ne veut pas dire que vous allez tout changer, en revanche, quelle que soit la situation, si vous souffrez, vous avez le droit d’explorer une meilleure situation pour VOUS.

3️⃣ Clarifier vos besoins et vos envies

C’est le cœur du processus : retrouver votre boussole intérieure.


Souvent, on sait très bien ce qu’on ne veut plus, mais on n’a plus aucune idée de ce qu’on veut vraiment.

Clarifier vos besoins et vos envies, c’est identifier ce qui vous fait du bien, ce qui vous donne de l’énergie, et ce que vous aimeriez retrouver dans votre quotidien.
Cela peut concerner le type de missions, le rythme, l’ambiance, le niveau d’autonomie, ou simplement la sensation d’utilité.

C’est dans cette phase que ma méthode des 3 curseurs® prend tout son sens :

  • Le QUOI : ce que vous aimez faire, vos zones de plaisir et de compétence.

  • Le POURQUOI : vos valeurs, vos motivations profondes, ce qui vous donne envie de vous lever le matin.

  • Le COMMENT : vos contraintes, vos besoins d’équilibre et votre réalité actuelle.

Ces trois dimensions permettent de construire une vision claire et réaliste de ce qui doit changer pour que votre vie professionnelle redevienne alignée.

Vous la retrouvez dans le Guide Offert des 3 curseurs mais aussi dans les résultats personnalisés du test.

4️⃣ Analyser la faisabilité du changement

Une idée n’est pas un projet tant qu’elle n’a pas été confrontée à la réalité.
Cette étape consiste à transformer vos réflexions en perspectives concrètes.

Cela veut dire :

  • évaluer les pistes envisageables selon votre profil,

  • identifier les formations, les transitions ou les passerelles possibles,

  • estimer les implications financières, familiales ou logistiques,

  • vérifier si votre projet s’intègre dans votre vie actuelle (et non dans une version rêvée d’elle).

Cette phase est précieuse car elle permet d’avancer sans se perdre dans l’utopie ni se bloquer dans la peur.
Changer, oui — mais avec une stratégie claire, progressive et adaptée à votre situation.

Vous pouvez retrouver la partie concrétisation des projets par ici 

5️⃣ Démêler ce qui doit vraiment changer

C’est souvent à ce moment-là que tout devient plus limpide.
Car en prenant le temps d’analyser, on réalise que le problème n’est pas toujours “le travail” en lui-même.

Parfois, il s’agit d’un besoin d’ajustement :

  • changer de service,

  • revoir votre rythme ou vos limites,

  • oser poser vos conditions.

Et parfois, il s’agit d’une évolution plus profonde : changer de voie, de posture ou même de regard sur soi.

L’enjeu n’est pas de tout quitter, mais de retrouver du sens et de la cohérence entre votre vie intérieure et votre vie professionnelle.
Quand ces deux mondes se réalignent, les décisions deviennent plus simples — et surtout, plus justes.

Vous faire accompagner ?

 

💬 Et si vous voulez avancer ensemble →Dans le programme Trouver Sa Voie, nous passons par toutes les étapes, si vous voulez en savoir plus, c’est par ici : 

AH

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