Virginie
De l'assistanat à la sororité

Ce que tout le monde devrait savoir à propos des accompagnements AH Accompagnement ?! Qu’as-tu aimé dans cet accompagnement ?

Je recherchais un accompagnement personnalisé, j’avais besoin de me sentir à l’aise avec la personne qui allait m’accompagner sur ce chemin ; je ne voulais pas d’un bilan de compétences classique, mécanique et sans âme ; j’avais besoin d’être guidée, mais avec bienveillance, sans brusquerie, avec intelligence, expertise et délicatesse.

C’est tout ce que j’ai trouvé avec le programme Trouver sa voie.

La méthode d’Annaick offre le cadre et tous les outils pour travailler sur soi, ses motivations, ses compétences, ses qualités, ses envies, ses limites…

Elle apporte à la fois un regard extérieur et terre à terre mais aussi de l’inspiration avec toutes sortes de sources et ressources.

Les séances de sophrologie sont le petit plus, et même si certains ne s’y attacheront pas plus que cela, elles proposent des exercices de visualisation qui aident à avancer dans le processus global si on les fait sérieusement.

Dans mon cas particulier, Annaick a tout de suite senti qu’un accompagnement avec un thérapeute à côté serait peut-être utile, en temps voulu, pour lever des blocages, et ce conseil a été essentiel à mon avancée.

Plus qu’un accompagnement en reconversion professionnelle, je me suis lancée à la découverte de moi-même, un continent que je croyais connaître, mais que j’avais complètement déserté en me contentant d’habiter une toute petite partie de mon territoire intérieur.

Ce travail que j’avais commencé en amont par moi-même, mais sans bien voir où cela me menait, c’est grâce à Annaick que j’ai trouvé le courage de l’amener à l’étape supérieure.

Et c’est grâce à la mise au jour de centres d’intérêt oubliés depuis longtemps, à des prises de conscience progressive que j’en suis arrivée à me dire que :

oui, j’avais bien des sujets de prédilection,

non, je n’étais pas une coquille vide et sans intérêt(s) !

Annaick est extrêmement professionnelle tout en mettant extrêmement à l’aise : on se sent en confiance, écouté(e), entendu(e), et non ce n’est pas la même chose, et sans tabou ou crainte d’exprimer ce que l’on ressent. Je me suis sentie à la fois entourée et guidée, exactement ce que je cherchais.

 

Comment étais-tu avant cet accompagnement ?

J’étais déjà sur mon projet de « reconversion » professionnelle entamé depuis un moment, mais j’en étais plus au stade d’une « orientation », ce qui m’avait manqué sérieusement en fin de lycée.

Par la suite,  je me suis toujours laissée porter par les opportunités, quittant un job quand j’en avais marre pour aller vers un autre, essentiellement dans le secrétariat, mais sans conviction, parce qu’il faut bien vivre.

A l’aube de mes 40 ans, j’avais quitté un emploi dans une entreprise où je travaillais depuis plus de 12 ans parce que mon évolution de poste m’avait amené vers une impasse où je m’ennuyais ; en plus, l’équipe d’encadrement avait changé et je ne me sentais plus du tout en phase avec la mentalité.

Je suis partie sans regret et soulagée.

Je pensais utiliser ma période de chômage pour me reconvertir, mais j’avais dans l’idée de faire quelque chose autour de la cuisine et après un an à faire une sorte de bilan à distance avec un organisme, je me suis décidée pour un CAP pâtisserie en candidate libre que j’ai réussi l’année suivante.

Sauf que rien dans ma vie à ce moment-là ne me permettait de monter le salon de thé-librairie dont je rêvais depuis longtemps : un enfant en bas âge et un mari déjà à son compte avec des amplitudes horaires qui me laissaient souvent coincée avec les enfants dans un village excentré sans commerce.

C’est donc comme secrétaire de mon mari qui avait besoin d’un soutien administratif que s’est conclue ma période de chômage.

Au bout d’un an et demi, post-COVID, j’ai réalisé que je ne pourrais pas continuer à faire ça. Mais j’ai commencé par essayer d’avancer seule sur le travail qui devait m’amener à découvrir LE métier idéal.

Quand j’ai entamé l’accompagnement avec Annaick, au printemps 2023, j’étais à un stade d’ennui avancé, la collaboration avec mon mari n’était pas toujours facile et je me sentais sous-employée, sous-payée, dévalorisée plus encore que dans mes précédents jobs où c’était pourtant déjà le cas. Il était plus que temps que je rebondisse.

 

Quel changement cet accompagnement a-t-il permis chez toi que tu n’aurais pas pu faire seul(E) ?

Le programme Trouver sa voie d’AH accompagnement m’a permis d’aller plus loin, d’aller quasiment au bout de ma recherche d’un métier qui me permette de faire quelque chose que j’aime et qui ait du sens.

Sans Annaick, je n’aurais pas remis les pieds sur terre aussi et c’est une dimension très importante : lors de notre premier entretien, Annaick a tout de suite compris que j’idéalisais le fait de trouver le métier de mes rêves comme si cela allait être ce qui règlerait tous mes problèmes, qu’il ne présenterait aucun inconvénient et que le trouver me suffirait à y arriver miraculeusement.

Par la suite, tout au long de l’accompagnement et jusqu’à la fin, Annaick met l’accent sur le réel : sans m’influencer d’aucune manière, elle me laissait arriver aux conclusions par moi-même sur les pistes envisagées et ensuite, elle me disait que cela confirmait ce qu’elle en pensait, notamment dans la phase des enquêtes métiers, une autre étape que je n’aurais jamais réussi à mener à bien sans l’obligation de le faire.

Or, c’est nécessaire : c’est ce qui m’a permis de renoncer à la piste librairie, même si cela a été dur et a nécessité une courte période de deuil.

Enfin, les nombreux conseils en marketing, les assertions répétées que pour réussir, il ne faut pas hésiter à se vendre, et savoir bien le faire, son discours éclairé de femme entrepreneure, autrefois dans le marketing, qui parle d’expérience, à force d’être instillé par petites touches de séance en séance, porte ses fruits et m’a convaincue de son bien-fondé ; des femmes interrogées dans le cadre des enquêtes me l’ont confirmé par ailleurs : ne jamais se brader ni douter de sa légitimité à se faire payer pour le service que l’on propose. Sans l’accompagnement, je n’aurais pas pu faire ce travail sur moi, ma timidité et mes doutes.

 

Comment te sens-tu après cet accompagnement ?

DE QUOI ES TU LE PLUS FIER(E) EN FIN DE PARCOURS ?

J’ai VRAIMENT pris conscience de mes qualités, dont je dois apprendre à faire des forces au quotidien.

Je me sens en partie libérée, mais aussi très fébrile devant tout le chemin qui m’attend encore.

Il y a à la fois de l’excitation et de l’anxiété.

Mais je suis fière de moi d’avoir lancé cette démarche qui m’oblige maintenant à aller au bout.

Je suis fière de ne pas avoir lâché en cours de route et d’être restée mobilisée presque jusqu’à la fin, j’avoue avoir eu un coup de mou autour de la séance 7. Mais il faut dire que si on s’y donne à fond, et si comme moi, on fait un travail sur soi en profondeur, cela remue pas mal de choses, donc avoir un coup de moins bien n’est pas complètement anormal.

Enfin, le projet qui se dégage, même s’il reste à préciser et affiner, devrait me ressembler et coller à tous mes quoi et pourquoi. Pour les comment, j’ai encore un peu de travail…

Bref, je me sens sur la bonne voie, inspirée et motivée par la nouvelle vie qui s’ouvre à moi, même si l’objectif est encore un peu loin. J’ai éliminé beaucoup de pistes en cours de route, mais découvert plein de métiers et de spécialités. Aujourd’hui, je me concentre sur des médecines douces, complémentaires et non invasives avec des outils et techniques principalement énergétiques pour accompagner des femmes sur des problématiques qu’il me reste à circonscrire précisément pour définir mon offre.

J’ai un long parcours de formations devant moi, mais c’est très excitant.

Et je ne serais jamais arrivée à cette piste sans le travail de fond entrepris avec le programme Trouver sa voie d’AH Accompagnement. Merci pour tout ça Annaick.